Katarina Mazetti
Pas courant d’aborder le thème de l’amour sur un banc de cimetière.
J’ai bien aimé, ça m’a fait penser aux histoires à 2 voix de Patrick Cauvin ou aux belles heures du « bonheur est dans le pré ».
un livre qui se lit bien même quand la rentrée est arrivée…
Plus léger que les déferlantes.
ça y est, j’ai terminé Miserere , ben c’est malin, et maintenant on fait quoi avec cette question!
Je suis en train de terminer Miserere de Jean-Christophe Grangé.
Peut-être faut-il éviter de faire étudier la musique classique à nos chères têtes blondes !
J’ai hâte de terminer, en même temps c’est toujours décevant d’achever la lecture d’un roman qui nous a maintenu dans le suspense ? Non ?
Peter Fromm a presque réussi à me donner envie d’aller passer quelques jours à trapper .
Enfin allongée sur la plage, ça m’a amusé, maintenant par moins quarante …
Je ne suis pas fan de récit d’aventures plus ou moins biographiques, mais là j’avoue que ses anedoctes sont parfois drôles et qu’on s’imagine bien à sa place, citadins sans expérience de la vie sauvage.
Tout compte fait à la fin du récit on peut se demander s’ils sont si nombreux les spécialistes de cette rude nature!
Bonjour.
J’ai eu envie de créer ce blog afin d’échanger des titres, commenter des lectures communes alors n’hésiter pas à écrire.
Merci.
arinou
Quand je commence un Cunningham, j’ai du mal à le lâcher. J’aime beaucoup les ambiances parfois pesantes qu’il met en place.
Les personnages qu’on comprend petit à petit ,les blessures qu’ils portent en eux.
Il arrive à mettre en place un suspense ou plutôt il réussit à nous suspendre aux pensées ,aux cheminements de ses personnages.
Son style est magistral, je lis parfois certains passages à voix haute pour le plaisir d’entendre ses mots.
Le thème de l’homosexualité est récurrent dans ses romans, la maladie aussi.
Ses ouvrages pourraient être plomblants , mais non, c’est la vie et c’est beau.
Les vacances me permettent enfin de lire sans piquer du nez au bout de 3 pages.
J’ai dévoré « les déferlantes » de Claudie Gallay (merci Hélène).
Une pause en bord de mer.
Des vagues qui nous poussent , qui nous retiennent. Des morts qui nous appellent, qui nous repoussent, qui nous enjoignent de continuer. Des oiseaux qui luttent contre le vent , qui ne peuvent éviter la lumière, qui subissent les humains, les accompagnent parfois.
Des personnages âpres, qui tous portent ou supportent une souffrance.
Relire Prévert, visiter ou se faire absorber par la Hague.
La Griffue existe-t-elle? peut-être pas le meilleur gîte pour passer ses vacances!
Prix des lectrices de Elle, je pense que les lecteurs y trouveront aussi leur compte.