Les vacances me permettent enfin de lire sans piquer du nez au bout de 3 pages.
J’ai dévoré « les déferlantes » de Claudie Gallay (merci Hélène).
Une pause en bord de mer.
Des vagues qui nous poussent , qui nous retiennent. Des morts qui nous appellent, qui nous repoussent, qui nous enjoignent de continuer. Des oiseaux qui luttent contre le vent , qui ne peuvent éviter la lumière, qui subissent les humains, les accompagnent parfois.
Des personnages âpres, qui tous portent ou supportent une souffrance.
Relire Prévert, visiter ou se faire absorber par la Hague.
La Griffue existe-t-elle? peut-être pas le meilleur gîte pour passer ses vacances!
Prix des lectrices de Elle, je pense que les lecteurs y trouveront aussi leur compte.